Pâtes = glucides = énergie
Voilà le principe de base mais il ne faut pas l’exécuter n’importe comment. C’est le stock de sucre qui va définir votre capacité à courir longtemps. S’il n’est pas assez élevé et que le corps doit piocher dans ses réserves alors le cerveau va décider de couper la production d’énergie pour préserver le sucre restant, et là patatra, on ne peut plus compter que sur les lipides et on se sent à bout de force : on frappe le mur.
Avant l’effort
Les 3 jours qui précèdent la course, mangez régulièrement des pâtes et du riz pour préparer vos stocks et les entretenir. Buvez aussi très régulièrement de petites quantités d’eau car c’est l’hydratation qui permet le stockage du glycogène. La veille du marathon, mangez vos pâtes 3h avant d’aller vous coucher pour laisser du temps à la digestion et ne pas la perturber avec une position allongée. Le matin du marathon, rebelote, on mange ses pâtes 3h avant le départ.